vendredi 1 mars 2013

Être seule sans toi dans cet endroit si froid...

Une vie de bonheur,
Un instant, un éclat,
Mais un jour ou une heure
Que je passe sans toi
Se révèlent être les pires moments de ma vie
Une torture interminable comme un bruit sourd dans la nuit,
Une ombre qui se dessine
Comme le début de l'agonie,
La souffrance est maline
Elle part et me laisse sans vie.
Je n'aime que toi
Et te donne mon âme,
Malgré tout je suis las
De cet amour sans flamme;
Au revoir, adieu,
Surtout ne m'oublie pas,
Ni moi, ni les jours heureux
Que nous avons passé quand tu étais là.
Aurais-tu oublié
Le pouvoir d'un sourire
Sur un cœur brisé
Par un si long soupir.
Même rien qu'une seconde,
Ou bien rien qu'une fois,
Sentir que ton monde
S'écroule sans moi
Serait un réconfort
Au plus dur des malheurs
Et malgré mes efforts
Je dois compter les heures
Que je passe entre ces murs.
Certains appellent "amour"
Cette prison de pierres dures
Et alors qu'elle m'entoure
Ton souvenir ne part
Il reste au fond de moi
Et j'ai comme seul cauchemar
D'être seule sans toi
Dans cet endroit si froid.




Cette génération de merde qui part en vrille....

"Je dédicace ce texte à toutes ces meufs qui se croient parfaites parce qu'elles sont populaires, parce qu'elles sont aimées. Aux pétasses en chaleur qui ont un copain mais qui vont voir ailleurs quand l'envie leur vient. À tous ces mecs qui s'amusent avec les filles parce que ça les fait kiffer, à toutes ces filles qui n'ont que onze ans et qui se maquillent comme des putes. Aux meufs qui se plaignent tout le temps parce qu'elles n'ont pas ce qu'elles veulent. Aux gens qui sont passés de "Français" à "Arabe" juste par Facebook. Aux meufs qui font des poses toutes aussi bizarres les unes que les autres et qui mettent en statut Facebook "J'aime pas les meufs qui font les bouches en cul de poule"... Aux meufs qui mettent en description photo "Je suis moche" juste parce qu'elles savent qu'elles sont belles et qu'elles auront des compliments. Aux mecs qui se prennent pour des racailles au lycée alors que dehors ça fait rien. Aux gens qui osent insulter leurs parents devant des personnes. Aux meufs qui critiquent H24 les gens alors qu'elles ne sont pas mieux. Aux mecs qui se mettent à fumer alors que chez eux ils sont clean et responsables. Je dédicace ce texte à tous les gens qui détruisent la vie des autres. Aux meufs qui ont un corps de rêve et qui se la pètent, aux putes qui se foutent en mini-jupes en Novembre. Aux connards qui brisent des cœurs parce que leurs ex-copines les ont trompés, du coup ils se vengent. Aux meufs qui savent clasher sur Facebook mais qui, une fois en face ferment leur grande gueule. Aux gens qui mettent "Izi" sur leur Facebook pour faire plus "swag" alors que ça fait juste très con. Aux gens qui disent "Insh'allah, Wallah, Mash'allah (..)" et qui ne connaissent pas les significations. Aux gens qui se croient "swag" parce qu'ils ont acheté une casquette Obey, Wati B ou autre et qui possèdent une paire de Vans. Aux meufs qui ne se sentent plus parce qu'elles s'habillent chez Hollister. Aux meufs qui se prennent en photo le matin et qui mettent en légende "Je viens de me lever, pas de critiques svp" alors qu'elles sont maquillées comme des catins. Aux mecs de onze ans qui disent "Suce-moi la bite" alors qu'ils connaissent à peine la définition de ce mot là. Aux meufs qui se croient photographes parce qu'elles possèdent un appareil de professionnel et ne savent pas s'en servir. Aux gens qui passent leurs journées à raconter leur vie. Aux gens qui osent critiquer Justin Bieber alors qu'ils n'oseront jamais faire ce qu'il a fait. À tous ces gens qui disent "J'aime pas moi non plus" pour faire la même chose que les autres. Aux meufs qui respectent pas les autres en plein cours. Aux professeurs qui font noter les devoirs 5 minutes après la sonnerie histoire de nous faire chier. Aux meufs qui modifient à fond leurs photos histoire qu'ont ne puisse pas voir leurs boutons. Aux gens qui s'inventent une vie parce que la leur est bien trop minable. Aux meufs qui se plaignent parce qu'elles se font critiquer une fois alors que pour certaines c'est tout le temps. Aux gens qui passent de "Célibataire" à "En couple" et de "En couple" à "Célibataire" et ainsi de suite. Je dédicace ce texte aux meufs biens qui sont trop souvent oubliées et remplacées par ces pétasses. Aux meufs qui font du 34 et qui se trouvent grosses. À cette génération de merde qui part en vrille."
J'ai trouvé ce texte sur internet. Il est totalement pessimiste mais j'aime bien la tournure qu'il prend. Et je suis heureuse de savoir que quelqu'un pense à peu près comme moi.

jeudi 28 février 2013

Concert, scène, liberté et maladie

Désolée de pas avoir été très présente ces derniers temps. Mon concert s'est très, très, très bien passé. Être sur scène, c'est magique.Il y a une énergie qui s'en dégage, le publique est devant nous, on peut voir leurs yeux, leur sourire et puis on est sous les projecteurs. C'est un moment fort.
Sinon, je suis tombée malade et je suis donc clouée au lit. Fantastique me direz-vous. Et bien, effectivement, c'est fantastique de pouvoir penser durant toute une journée. On est libre, sans contrainte, et , malgré les différents maux par lesquels la maladie se manifestent, on est heureux, on va bien.
Sur ce,
Big Bisous,
Lélo.

lundi 25 février 2013

Demain

Demain, j'ai un concert!
J'ai vraiment hâte de monter sur scène!
Je vous laisse, je suis crevée,
Big Bisous,
Lélo.

dimanche 24 février 2013

Dormir. Manger.

Aujourd'hui, dimanche.
Repos.
Manger.
Dormir.
Manger.
Ordi.
Télé.
Manger.
Dormir.
Et merde! Demain c'est lundi.

La fille d'à côté...

Il y a toujours une personne qu'on regarde plus. On ne voit qu'elle, ne parle que d'elle, ne parle qu'à elle. Ce qu'on ne sait pas, c'est que cette personne a un, une amie. L'ami d'à côté. En général on connait son nom. Parfois même le son de sa voix. Ou bien aucun des deux. La personne d'à côté. Elle s'excuse d'exister. Elle sait tout, comprend tout, voit tout. Elle, en revanche, n'est vue par personne. Les gens lui demandent de dire telle ou telle chose à son "amie", elle sert d'intermédiaire. On ne lui parle qu'en cas de besoin. On lui ment. Les choses qui ne se disent pas, les sentiments qui ne se montrent pas, elle les connait. Son monde est une sorte d'endroit fait de secret retenus par des murs en papier. Les mensonges recouvrent les vérités et s'oublient. Les gens ne sont que pierres qui se déplacent au gré des marées.
Ce qu'ils ne savent pas, c'est que la fille d'à côté voit, connait, pense.
Ce qu'il ne savent pas c'est qu'elle aussi, elle aimerait bien qu'on lui parle. Même juste une fois, juste le temps d'un rêve, le temps d'une journée, d'une seconde.
Juste pour lui montrer qu'elle aussi, elle existe.