vendredi 16 août 2013

Mon nouveau blog

Salut à tous et désolée pour cette nouvelle absence, j'étais.... loin. Si loin que je crois que là où j'étais internet n'avait pas encore été découvert comme moyen de communication... Enfin bref tout ça pour vous dire que j'ai ouvert un nouveau blog, mais de mode cette fois-ci.
Pour le voir, cliquez ....
Enjoy, Lélo

mercredi 24 juillet 2013

Mélancolie de l'année passée...

Les textes qui vont suivre étaient, il me semble, tous destinés à la même personne.
C'est une façon de dire ce que je ressentais à cette période... Sûrement une phase de l'adolescence.
J'espère que vous apprécierez.

C'est compliqué de se rendre compte que même si il te dit " je t'aime" il reste un doute dans ses yeux. Dans sa voix. Comme si il avait peur de prononcer ces trois mots magiques. Ces trois mots qui feraient de toi le plus heureux. Ces trois mots, maudits par les uns, adulés par les autres. Ces mots tant attendus, ces mots qui remontent le moral, qui te redonne le sourire, en bref ces mots qui hantent tes pensés quand tu le vois. Je t'aime. Ces mots que toi, tu aimerais tant pouvoir lui dire, lui chuchoter dans le creux de l'oreille. Que tu aimerais qu'il entende, qu'il comprenne. Tu aimerais qu'il se précipite vers toi, te sert dans ses bras, t'embrasse, te dise qu'il t'aime, lui aussi, que tu lui as manqué, qu'il rêve de toi toutes les nuits et que tu es la personne qu'il lui faut. Oui tu aimerais le faire, l'entendre, l'aimer. Mais tu ne l'aimes pas. Tu ne penses pas à lui. Tu te moques bien de savoir ce qu'il pense de toi. II ne t'intéresse pas. Mais tu ne veux pas le perdre. Alors, comme un imbécile, tu réponds que toi aussi, tu l'aimes, que rien ni personne ne pourra vous séparer, que tu seras là pour lui quoi qu'il arrive et toutes les belles paroles qui rendent les uns heureux, les autres amoureux. Mais au fond de toi, tu sais très bien, que quoi que tu fasses, dises ou penses, c'est elle que tu aimes.

Et puis finalement tu te rends compte que tout cela, tout ce rêve, ce conte, n'était qu'un mensonge dans lequel ton rôle était de le rendre jaloux. De faire en sorte que l'autre acteur de ce jeu dans lequel tu étais la victime puisse savoir si elle était aimée. Et puis.... Qu'elle te quitte. Pour lui. Même si elle sait, même si elle a dit, de son propre gré, qu'il ne faut pas quitter quelqu'un pour quelqu'un d'autre, sinon ce "quelqu'un" te quittera pour un ou une autre.
Mais bon après tout la vie continue et tu te rends compte qu'avec ou sans elle tu te débrouilles très bien et ta vie est meilleure..... De toute façon, tu ne l'aimais pas. Tu me l'avais dit, que pour toi elle ne représentait qu'une fille, vulgaire, imparfaite. Que seul son physique te plaisait, qu'elle était chiante, complètement idiote. Tu avais raison. Si elle avait été intelligente, elle ne serait pas sortie avec toi. Elle ne t'aurait pas aimer, ou du moins, elle n'aurait pas fait semblant de t'aimer. Cette histoire c'est un peu un arroseur arrosé, un cambrioleur cambriolé. Elle t'as volé ton "honneur", tu lui as volé le sien. Vous êtes quittes. Mais tu sais, moi, je t'en veux. De ne m'avoir rien dit. Et de m'avoir fait croire que moi aussi, j'avais ma place dans ta vie.

 Tu n'imagine même pas le mal que tu m'as fais en me disant que je n'étais plus personne, plus rien. Que je ne représentais pas même un bon souvenir pour toi. Que je n'étais plus qu'une fille parmi tant d'autre, dans ce monde, cette immense étendue de vide, de creux, de poussières qu'est ton cœur. Enfin si on peut appeler ceci un cœur. Cet organe qui pompe ton sang, je devrai le détester. Si il n'avait pas envoyé de sang à ton cerveau, celui ci ne t'aurais pas donner l'ordre de me mentir et de me faire du mal. Il ne t'aurait pas donner l'ordre de me détruire, de ne rien faire alors que je souffrais. Tu ne serais pas rester immobile, jusqu'à te rendre compte qu'en fait, je n'étais pas rien, pas quelque chose, pas juste une tâche sur ton nom. Jusqu'à ce que tu te rendes compte qu'en fait, tu m'aimais.

Je ne me souviens plus pourquoi j'ai voulu écrire cet article. Je ne me souviens plus pourquoi je l'ai commencé. Pourquoi j'ai marqué ce titre. À vrai dire, je ne me souviens plus de grand chose. En ce moment, tout s'accélère, mon cœur, mes pensés, mes peurs, ma vie... Je me pose des questions auxquelles je ne peux pas répondre, oui plutôt auxquelles j'ai peur de répondre. Parce que la réponse, les réponses, je les connais. Mais elles m'inquiètent. Je fais comme si rien n'était. Comme si tout était "normal". Normal. C'est un mot que je déteste. Un mot n'est jamais normal. Normal n'est pas un mot. Normal ne veut rien dire. Personne ne l'est mais tout le monde veut l'être. Pourquoi tout le monde  veut être quelque chose qui n'existe pas? Quelque chose d'irréel. Une idée. Un fantasme. Quoi que la normalité ne soit pas un fantasme mais plutôt l'idée d'être "comme tout le monde". La perfection est un fantasme. Une idée, elle aussi. Mais tout aussi irréalisable que la normalité. Être parfait ou dans la norme, qu'est ce que ça peut bien vouloir dire?? Ah, voilà, je me rappelle pourquoi j'ai voulu commencer cet article. Pour savoir pourquoi je continuais à l'aimer. Et pourquoi pour lui, je n'étais plus rien...

mardi 23 juillet 2013

IO OI


Les lettres I et O sont des lettres mystérieuses. Si je devais attribuer un sexe à ces deux lettres je dirais que I est un homme et O, une femme. Cette hypothèse n'est basée que sur des sous-entendus sexuels. En effet, le I est une ligne droite alors que le O est un cercle donc, une courbe. Je pense que vous avez compris où je voulais en venir. Seulement voilà, I est devenu un classique du genre féminin: Mélanie, Sophie, Lori... Et O est devenu, grâce aux langues espagnole et italienne, masculin: Carlos, Mario, Léo... Seul Lélo, mon prénom donc, est un prénom mixte se terminant par le son O. Sinon il y a Margot... Mais je n'en voit pas d'autre. Et Camille pour le son I. Un autre exemple, lorsque dans un livre ou une bande dessinée on lit "Hi hi hi" on pense le plus souvent à une imbécile hystérique se réfugiant sur une table pour échapper au pauvre rongeur qui se trouvait sous cette dite table qu'à un gros mâle tatoué et moustachu riant suite à une blague cochonne. Alors que "Ho ho ho" est plus jovial... Une sorte de rire de père Noël mélangé à celui un bûcheron ayant cuvé une bonne trentaine de barils de bière. Je dois vous avouer que je ne vois pas trop l'utilité de ce que je viens d'écrire, aussi je tiens à m'excuser, je viens de vous faire perdre de précieuses minutes/secondes de votre vie.

Amicalement votre, Lélo.

Mais je suis heureuse d'avoir pu exprimer mon avis sur le sujet.

lundi 22 juillet 2013

Ado naissant

"C'est un ado dans toute sa splendeur." La plupart du temps cette phrase signifie que l'ado en question est paresseux, niais, sale, chiant. Qu'il mange, dort, joue, mange et dort. Seulement voilà, les adolescents ne sont pas tous des imbéciles avachis sur le canapé. Ils peuvent être intelligents. Brillants même. Ils peuvent être ouverts, gentils, beaux, propres, sympathiques. Après tout, ce sont les adultes de demain. Ce sont des adultes naissants. Et si cette phrase n'était pas toujours péjorative? Les parents pourraient dire "C'est un ado dans toute sa splendeur" lorsque l'ado en question vient de ranger sa chambre ou bien qu'il a réussi son examen. Ils pourraient le dire lorsque qu'ils sont fiers de leur rejeton, lorsque celui-ci leur a montré de quoi il était capable. Ils pourraient dire que l'ado est un miracle, que l'adolescence est un cadeau de la nature. Mais non. Cette phrase est et restera péjorative. Pourtant l'ado n'est il pas un être dans sa chrysalide à mis chemin entre la chenille et le papillon? N'est il pas le petit oiseau qui devient grand? Celui qui prend son envol pour quitter le nid familial? L'ado n'est il pas l'avenir? L'adulte averti qui saura jongler entre vie de famille et travail acharné? Mais la raison, la seule et unique raison pour laquelle cette phrase est péjorative est la jalousie. La mélancolie des parents de ne plus pouvoir faire ce qu'ils souhaitent. La jalousie devant la chair de leur chair gaspillant inutilement ses ressources devant un écran, la jalousie de cette liberté qu'offre l'adolescence, de toutes ces découvertes qui leur sont passées sous le nez. Peut-être même la peur que leur presque adulte plus tout à fait enfant ne gâche sa vie trop vite, sans avoir pu en profiter. La peur que les erreurs soient au rendez vous. Les mêmes que les leurs, ou bien d'autres, pires encore. La peur de le voir partir. La peur qu'il grandisse. Qu'il devienne autonome. La peur. La peur de l'inconnu, du connu, de l'évitable, de l'inévitable. Toutes ces choses, ces peurs, ces sentiments qui font qu'au final l'ado n'est qu'un imbécile à qui il faut tout apprendre. Alors que peut-être ce sont ses parents qui devraient réapprendre à vivre.

dimanche 21 juillet 2013

La chemise

N'avez vous jamais ressenti une certaine fierté lorsque vous portiez votre vêtement fétiche? Ne vous êtes vous jamais dit "Que je suis beau/belle dans cette chemise"? La chemise n'est pas un simple vêtement, elle donne de l'assurance. Elle structure la silhouette, l'affine, elle donne confiance. Mettez une chemise à la plage, tout le monde vous regardera. Elle dissimulera vos petits bourrelets, si bourrelets il y a, et mieux encore, elle vous rendra attirant. Sexy. Quelle fille n'a jamais dit: "Qu'il est beau en chemise!"? Aucune de mes amies ne pourrait se vanter d'une telle prouesse pour la simple et unique raison que toute personne qui porte une chemise jouit immédiatement d'un sex appeal monstre. Personne ne dira le contraire. La chemise est aussi le vêtement de prédilection des hommes et femmes d'affaire. Sous une veste de tailleur, elle est sobre, classe, élégante. Sur jean elle est moderne, donne un côté travaillé à la tenue. Blanche avec un débardeur blanc dessous elle se veut Mad Men, fifttie's. Ouverte avec quelques pendentifs ou dents de requin, elle est wild, rock. Fermée jusqu'au dernier bouton elle tourne.... Mormon. Pas super mais d'après les magazines people c'est une tendance à la hausse. La seule règle à ne pas transgresser avec une chemise est la suivante: ne jamais, JAMAIS, remonter le col et le laisser comme tel. Mais sinon, tous les coups sont permis: cravate, nœud pap', écharpe, avec où sans veste, avec T shirt, sans T shirt, ouverte, fermée... Peu importe. La chemise est simple à trouver et facile à porter, on ne pouvait pas demander mieux.

Après tout...

Bonjour... Je n'ai pas d'excuse pour mon absence prolongée... je suis fatiguée... mais j'espère que vous allez bien.
Comme je suis en ville pour le moment, j'ai pensé que je pourrais reprendre l'écriture. j'ai écrit pas mal de trucs durant ce début de vacances et aussi quelques chansons.
Demain j'irai applaudir les champions du tour de France avec mon père et ma mère.
Je dois vous avouer que si j'ai commencé ce blog, c'était dans l'idée de trouver des personnes qui ne me connaissaient pas mais qui pourraient me comprendre mieux que je ne le fais moi même.
Parce que j'avais des choses à dire et l'impression qu'on ne m'écoutait pas. Qu'on ne me voyait pas. Vous savez, cette impression d'être invisible lorsqu'on vous regarde dans les yeux et visible derrière un écran. C'est pour ça que j'écrivais. Comme la plupart des personnes qui écrivent sans doute. Mais ce sentiment est parti. Et mon envie d'écrire aussi.
Maintenant, quelqu'un me comprend, me voit, m'écoute. Je n'ai donc plus besoin de ce blog pour "exister" si je puis dire. Mais je vais essayer de continuer. Pour la beauté du geste.
Amicalement votre,
Lélo.

Au fait, j'ai trouvé ça sur Youtube, peut etre que ça vous plaira. Moi en tout cas j'en suis fan ;)

 http://www.youtube.com/watch?v=24iPb4q7CkQ

lundi 18 mars 2013

J'ai faim

Désolée de cette absence prolongée :)
J'ai commencé à écrire un livre et je dois avouer que c'est assez amusant. Sinon, j'ai passé de bonnes vacances. J'ai pensé que je pourrai peut-être vous montrer ma pièce de théâtre... Quoi que... Je ne sais pas vraiment, j'y réfléchirai plus tard. Sur ce petit "billet", je vous quitte,
J'ai faim,
Big Bisous,
Lélo.

samedi 9 mars 2013

Internet un luxe ou bien une découverte à faire? et puis les super-héros aussi...

Je sais qu'il est un peu tard mais je pars tôt demain (ce qui est assez  paradoxal avec le fait que je me couche tard aujourd'hui) et je voulais juste vous dire que je serai absente car là où je vais, internet est un luxe... Ou bien pas encore découvert, je n'ai pas réussi à percer le mystère.
Je vous tiendrai au courant dès mon retour (dans environ une semaine) et amusez-vous bien,
Sur ce,
Big Bisous,
Lélo.

P.S.: Au fait, là où je vais,j'aurai beaucoup... voire beaucoup trop de temps libre donc je comptais faire une "étude" sur les super-héros.
Enfin bref,
Bonnes vacances ou retour de vacances,
Et Big Bisous,
Lélo

vendredi 8 mars 2013

Vacances, médecins et bâtiments administratifs...

Je suis en vacances. Dormir, dessiner, "geeker" (si je puis dire), écrire... Rien de plus passionnant. Mais il faut bien avouer que, faire la tournée de s bâtiments administratifs dans un périmètre de 30km pour renouveler sa carte d'identité et rendre visite aux quelques médecins ouverts pendant les vacances pour des prises de sang ou des tests allergisants, ne font pas parti de mon programme de rêve.
En revanche, j'ai fini d'écrire ma pièce de théâtre.
Bon sur ce je vous laisse,
Big Bisous,
Lélo

mardi 5 mars 2013

"Le changement, c'est maintenant".

Hier, j'ai vu un film. "Les femmes du bus 678". C'était un très beau film sur les agressions sexuelles en Égypte, au Caire. Des femmes qui se battaient pour que cet acte soit punis. Parce que quoi qu'on en dise, les agressions sexuelles existent. Elles sont là, partout dans la rue, les stades, les écoles, les bus, les parkings... Partout. Et personne ne fait rien. Tout le monde s'en moque. Et ces femmes se battent pour que tout ça s'arrête. Malgré ce que pense les gens, les risques, les qu'en-dira-t-on, elles continuent, ne lâchent pas l'affaire. Je vous conseille donc ce film. Il n'est pas barbant contrairement à ce qu'on pourrait penser (les films de ce genre le sont souvent apparemment). Il est juste plein de vérité et respire l'envie de changement dans cette société jugée trop masculine, machiste. Et comme dirait notre président, "Le changement, c'est maintenant".
Lélo.

lundi 4 mars 2013

Pour une qualité quelconque ou raffinée....

Pourquoi juger les gens
Et vouloir les détruire
Est-si important
De bien se vêtir
Pourquoi l'apparence
A-t-elle une si grande place
Y aurait-il une chance
Car nous sommes las
De la détrôner
Et de l'échanger
Pour une qualité,
Quelconque ou raffinée.

vendredi 1 mars 2013

Être seule sans toi dans cet endroit si froid...

Une vie de bonheur,
Un instant, un éclat,
Mais un jour ou une heure
Que je passe sans toi
Se révèlent être les pires moments de ma vie
Une torture interminable comme un bruit sourd dans la nuit,
Une ombre qui se dessine
Comme le début de l'agonie,
La souffrance est maline
Elle part et me laisse sans vie.
Je n'aime que toi
Et te donne mon âme,
Malgré tout je suis las
De cet amour sans flamme;
Au revoir, adieu,
Surtout ne m'oublie pas,
Ni moi, ni les jours heureux
Que nous avons passé quand tu étais là.
Aurais-tu oublié
Le pouvoir d'un sourire
Sur un cœur brisé
Par un si long soupir.
Même rien qu'une seconde,
Ou bien rien qu'une fois,
Sentir que ton monde
S'écroule sans moi
Serait un réconfort
Au plus dur des malheurs
Et malgré mes efforts
Je dois compter les heures
Que je passe entre ces murs.
Certains appellent "amour"
Cette prison de pierres dures
Et alors qu'elle m'entoure
Ton souvenir ne part
Il reste au fond de moi
Et j'ai comme seul cauchemar
D'être seule sans toi
Dans cet endroit si froid.




Cette génération de merde qui part en vrille....

"Je dédicace ce texte à toutes ces meufs qui se croient parfaites parce qu'elles sont populaires, parce qu'elles sont aimées. Aux pétasses en chaleur qui ont un copain mais qui vont voir ailleurs quand l'envie leur vient. À tous ces mecs qui s'amusent avec les filles parce que ça les fait kiffer, à toutes ces filles qui n'ont que onze ans et qui se maquillent comme des putes. Aux meufs qui se plaignent tout le temps parce qu'elles n'ont pas ce qu'elles veulent. Aux gens qui sont passés de "Français" à "Arabe" juste par Facebook. Aux meufs qui font des poses toutes aussi bizarres les unes que les autres et qui mettent en statut Facebook "J'aime pas les meufs qui font les bouches en cul de poule"... Aux meufs qui mettent en description photo "Je suis moche" juste parce qu'elles savent qu'elles sont belles et qu'elles auront des compliments. Aux mecs qui se prennent pour des racailles au lycée alors que dehors ça fait rien. Aux gens qui osent insulter leurs parents devant des personnes. Aux meufs qui critiquent H24 les gens alors qu'elles ne sont pas mieux. Aux mecs qui se mettent à fumer alors que chez eux ils sont clean et responsables. Je dédicace ce texte à tous les gens qui détruisent la vie des autres. Aux meufs qui ont un corps de rêve et qui se la pètent, aux putes qui se foutent en mini-jupes en Novembre. Aux connards qui brisent des cœurs parce que leurs ex-copines les ont trompés, du coup ils se vengent. Aux meufs qui savent clasher sur Facebook mais qui, une fois en face ferment leur grande gueule. Aux gens qui mettent "Izi" sur leur Facebook pour faire plus "swag" alors que ça fait juste très con. Aux gens qui disent "Insh'allah, Wallah, Mash'allah (..)" et qui ne connaissent pas les significations. Aux gens qui se croient "swag" parce qu'ils ont acheté une casquette Obey, Wati B ou autre et qui possèdent une paire de Vans. Aux meufs qui ne se sentent plus parce qu'elles s'habillent chez Hollister. Aux meufs qui se prennent en photo le matin et qui mettent en légende "Je viens de me lever, pas de critiques svp" alors qu'elles sont maquillées comme des catins. Aux mecs de onze ans qui disent "Suce-moi la bite" alors qu'ils connaissent à peine la définition de ce mot là. Aux meufs qui se croient photographes parce qu'elles possèdent un appareil de professionnel et ne savent pas s'en servir. Aux gens qui passent leurs journées à raconter leur vie. Aux gens qui osent critiquer Justin Bieber alors qu'ils n'oseront jamais faire ce qu'il a fait. À tous ces gens qui disent "J'aime pas moi non plus" pour faire la même chose que les autres. Aux meufs qui respectent pas les autres en plein cours. Aux professeurs qui font noter les devoirs 5 minutes après la sonnerie histoire de nous faire chier. Aux meufs qui modifient à fond leurs photos histoire qu'ont ne puisse pas voir leurs boutons. Aux gens qui s'inventent une vie parce que la leur est bien trop minable. Aux meufs qui se plaignent parce qu'elles se font critiquer une fois alors que pour certaines c'est tout le temps. Aux gens qui passent de "Célibataire" à "En couple" et de "En couple" à "Célibataire" et ainsi de suite. Je dédicace ce texte aux meufs biens qui sont trop souvent oubliées et remplacées par ces pétasses. Aux meufs qui font du 34 et qui se trouvent grosses. À cette génération de merde qui part en vrille."
J'ai trouvé ce texte sur internet. Il est totalement pessimiste mais j'aime bien la tournure qu'il prend. Et je suis heureuse de savoir que quelqu'un pense à peu près comme moi.

jeudi 28 février 2013

Concert, scène, liberté et maladie

Désolée de pas avoir été très présente ces derniers temps. Mon concert s'est très, très, très bien passé. Être sur scène, c'est magique.Il y a une énergie qui s'en dégage, le publique est devant nous, on peut voir leurs yeux, leur sourire et puis on est sous les projecteurs. C'est un moment fort.
Sinon, je suis tombée malade et je suis donc clouée au lit. Fantastique me direz-vous. Et bien, effectivement, c'est fantastique de pouvoir penser durant toute une journée. On est libre, sans contrainte, et , malgré les différents maux par lesquels la maladie se manifestent, on est heureux, on va bien.
Sur ce,
Big Bisous,
Lélo.

lundi 25 février 2013

Demain

Demain, j'ai un concert!
J'ai vraiment hâte de monter sur scène!
Je vous laisse, je suis crevée,
Big Bisous,
Lélo.

dimanche 24 février 2013

Dormir. Manger.

Aujourd'hui, dimanche.
Repos.
Manger.
Dormir.
Manger.
Ordi.
Télé.
Manger.
Dormir.
Et merde! Demain c'est lundi.

La fille d'à côté...

Il y a toujours une personne qu'on regarde plus. On ne voit qu'elle, ne parle que d'elle, ne parle qu'à elle. Ce qu'on ne sait pas, c'est que cette personne a un, une amie. L'ami d'à côté. En général on connait son nom. Parfois même le son de sa voix. Ou bien aucun des deux. La personne d'à côté. Elle s'excuse d'exister. Elle sait tout, comprend tout, voit tout. Elle, en revanche, n'est vue par personne. Les gens lui demandent de dire telle ou telle chose à son "amie", elle sert d'intermédiaire. On ne lui parle qu'en cas de besoin. On lui ment. Les choses qui ne se disent pas, les sentiments qui ne se montrent pas, elle les connait. Son monde est une sorte d'endroit fait de secret retenus par des murs en papier. Les mensonges recouvrent les vérités et s'oublient. Les gens ne sont que pierres qui se déplacent au gré des marées.
Ce qu'ils ne savent pas, c'est que la fille d'à côté voit, connait, pense.
Ce qu'il ne savent pas c'est qu'elle aussi, elle aimerait bien qu'on lui parle. Même juste une fois, juste le temps d'un rêve, le temps d'une journée, d'une seconde.
Juste pour lui montrer qu'elle aussi, elle existe.

vendredi 22 février 2013

Humour

Ma mère m'a très gentiment fait comprendre que mon humour mettait sa joie de vivre en péril. Ce que je n'ai pas compris, en revanche, c'est de quel humour elle pouvait bien parler. L'humour noir? Ou le sarcasme?
Les deux sont très semblables me direz-vous. Voire totalement similaires. Mais il y a tout de même une nuance, non?
C'est sur cette question que je vous laisse,
une amie m'attend.
Big Bisous
Lélo

mercredi 20 février 2013

Normal et con...

L'intelligence, la subtilité. La gentillesse, la politesse. Tant de qualités en train de disparaître, laissant place à des défauts. Tout ce qui faisait la différence laisse la place à tout ce qui crée des similitudes. Les gens ne font plus qu'un. Tout le monde est une norme. L'originalité perd sa place. Des choses de plus en plus "normales" se produisent et sont tolérées.
"Normal". Que veut réellement dire ce mot?
D'après le dictionnaire, "normal" veut dire "habituel, conforme à la norme". Son deuxième sens est mathématique. Perpendiculaire.
Mais si tout le monde est différent, qui est normal?
Et si tout le monde est pareil, "conforme à la norme", le ou les terme(s) mathématique(s) qui conviendrai(en)t le mieux à ce mot, à cette signification serait "parallèle", "confondu" et non pas "perpendiculaire".
Enfin bref quoi qu'il en soit, la "normalité" est à présent une reine et  pour être normal il faut être dénué de toute forme d'intelligence, donc, couramment parlant, con. Pour être accepté il faut être normal, donc con.
Soyons normaux, soyons cons.

mardi 19 février 2013

La vie n'est qu'un moment.

La vie n'est qu'un moment,
Un seul parmi tant d'autres.
Elle ne dure qu'un instant,
Le temps d'en faire la notre.
On déteste, on regrette,
On crie, on s'ennuie,
On les aime, on les jette,
Ces petits bouts de vie.
On a peur de tout,
Peur de n'avoir personne,
Et tout au fond de nous,
On attend, on s'étonne,
A aimer quelqu'un d'autre
Et détester celui,
Qui nous a pris le notre,
Notre semblant de vie.
On aimerait pouvoir dire,
Crier au monde entier,
Qu'on s'ennuie à mourir,
Qu'on a tout sacrifié,
Pour quelque chose qui n'existe pas,
Ou qui est parti,
Quelque chose qui s'en va,
Qui nous prend notre vie.

lundi 18 février 2013

Le beau temps et bla et bla et bla...

Le beau temps, les amis, les histoires, le lundi.... Sûrement la première fois qu'un lundi se passe aussi bien. Ce soir, répétition avec un groupe de rock pour un concert prévu dans deux semaines. Vous ne pouvez pas savoir à quel point cette journée s'est bien passée. Je m'excuse pour ce weekend, je n'ai pas eu le temps de poster quoi que ce soit.
Big Bisous,
Lélo.

vendredi 15 février 2013

Respect

Le respect est la base d'une relation, d'une société, comme les colonnes des temples grecs. Sans elles, les temples s'effondrent, avec elles, ils résistent au temps qui passe et qui détruit tout sur son passage. Je n'aime pas être insultée. Je n'aime pas les individus qui, sûrement complexés par une quelconque partie de leur anatomie ou un quelconque problème, se permettent d'humilier des personnes qui ne leur ont rien fait, rien demandé. Essayer de mettre le feu aux cheveux de quelqu'un, "tipp exé" le visage d'un autre. L'insulter, insulter sa mère, sa famille. Le ridiculiser, le provoquer pour qu'il soit à bout, qu'il essaye de les taper et au moment où il réagit, lui dire de se calmer avant "que ça ne se passe mal". Cette attitude est répugnante. Vraiment. Pourquoi le font-ils? Qu'essayent-ils de (se) prouver? Ont-il peur, à quoi cela leur sert-il? Tant de questions sans réponses, tant de phrases non-achevées. Tant de choses que j'aimerai savoir et qui me sont encore inconnues. Peut-être qu'un jour, les réponses ne seront plus nécessaire à la compréhension de ces individus et de leurs congénères. Ça aurait été amusant que l’étymologie de "congénère" soit la suivante:
-con: un imbécile profond,
-génère: qui génère un sentiment de désespoir vis à vis de l'espèce humaine.
Enfin bon, comme dirait le groupe de rap Sniper dans leur chanson violente quelque peu pessimiste, "il faut de tout pour faire un monde".

jeudi 14 février 2013

La Saint-Valentin.

La Saint-Valentin ne me dérange pas plus que ça. Je pense juste que lorsqu'on aime quelqu'un on l'aime tous les jours de l'année et on le lui dit dès qu'on peut et qu'on a pas attendre ce jour en particulier. Mais comment ne pas y penser (étant célibataire) lorsque notre entourage en parle... régulièrement?
D'après ma mère la Saint-Valentin a deux utilités (lorsque tu es célibataire):
-pouvoir dire à tes amis à quel point ils comptent pour toi,
-et te rappeler que tu es célibataire.
Ma maman aime beaucoup remonter le moral des autres.
Mais quoi qu'il en soit, il ne faut pas se plaindre lorsqu'on a pas de Valentin. Il faut penser aux gens qui, lors de la fête des mères ou de la fêtes de pères pleurent parce qu'eux, ils n'ont pas de mère ou de père.
Big Bisous et bonne Saint-Valentin,
Lélo.

mercredi 13 février 2013

Les orthographes des temps nouveaux

Pourquoi les gens ne se parlent-ils plus? Enfin si, ils se parlent mais pas en face. Via des écrans. Les conversations 2.0 se résument "cc sv tfk?". Pas de mots. Ni même des onomatopées. Juste de lettres mises à la suite des autres, sans signification particulière. "lol, mdr, ptdr." "Swag, tg, tmtc". "slt, XD, bsx".
Soit on supprime les lettres "slt tfk? jtm bcp". Soit on en rajoute "t'éEeès MmaAâ BËsthaäÄaà 4 Eéver". Dans les deux cas, impossible de comprendre quoi que ce soit et de ne pas faire une crise cardiaque lorsqu'on a suivi des cours de français et qu'on connait assez de règles de grammaires pour trouver 25 783 fautes par mots (ou phrases). Ces prodiges de l'orthographe se divisent en deux catégories: les weshwesh et les kikoulol (ce sont les deux communautés les plus connues et leurs règles d'orthographe les plus mystérieuses). Je ne saurai dire si ils arrivent à se lire les uns les autres.
Enfin bref tout ça pour dire que le monde évolue, les temps changent et l'orthographe suit le mouvement.

mardi 12 février 2013

L'adolescence

L'adolescence est vraiment un passage chiant de la vie de tout être humain. Un jour ça va, un autre non. On rit, pleure, on s’esclaffe pour un rien. On flirte. On teste l'alcool, la clope et toutes ces conneries. Puis on arrête. Puis on reprend. On vit des idylles mais seulement par téléphone. Des sortes d'aventures téléphoniques. On se demande comment les générations précédentes ont pu vivre sans téléphone, sans ordi, sans rien. On attends le prince charmant mais comme "les mecs c'est tous des cons", on espère juste en secret. On se fout de la gueule des autres, des profs, du monde entier. De toute façon, personne ne nous comprend, sauf notre "BëéEEstàAâh FoÖr Eéèver" . On vit dans notre monde, dans notre pseudo-rébellion juste pour emmerder les parents. On dit "Fuck" à tout, à tout le monde. On écoute du vieux rock et du nouveau rap, on déteste Justin Bieber parce qu'il est "complètement out et en plus il est pédé". On est homophobe sans même savoir pourquoi ni ce que ça veut dire. On fait des réflexions, on méprise tout le monde et on se moque du mec qui n'écoute pas NRJ le soir. On pense que les intellos sont inintéressants et qu'avec nos 8 de moyenne générale on pourra devenir avocat. On est au-dessus de tout le monde. Un ado, quoi.

lundi 11 février 2013

Stupidité

En 5ème, personne ou presque n'est superficiel. Les élèves débarquent tout juste du «petit niveau» et pensent plus à leurs notes qu'à leur apparence.
On joue encore, on s'amuse, on ne s'ennuie pas, on parle entre filles ou entre garçons, de tout et n'importe quoi, sans tabou. Certains sont amoureux, d'autre le cachent et encore d'autres s'en moquent.
Puis, arrive le milieu de 5ème. Ils commencent à se rendre compte que l'apparence joue (malheureusement) un rôle dans la vie sociale. Ils font attention à comment ils s'habillent, se prennent au sérieux car maintenant, ces petites créatures à peine pubères, veulent plaire. Plaire à tout le monde, 6ème, 4ème, 3ème. Mais surtout 5ème. Le but est de trouver quelqu'un pour que les élèves, les profs, les pions, tout le collège soit au courant de leur amourette stupide.
Une fois cette histoire ridicule achevée, les deux partenaires voient leur monde s'écrouler, emmenant avec lui leur popularité croissante et leurs amis de pacotille.
Certains y remède par la cigarette, d'autre par les lames et les larmes. Ils se tracent des cœurs, des lettres ou même des traits aux poignets pour que tout le monde les voit et les console. Bien sur, ils ne le font pas avec un couteau mais avec un rasoir emprunté à leur papa chéri.
Ils voient la vie en noir et aimeraient que leurs amis en fassent autant.
Sauf qu'entre temps, quand ils étaient occupés à se couper les veines ou à boire on ne sait quelle substances illicites nocives pour de petits corps si fragiles, leurs amis, avaient, eux, trouvé l'âme sœur. Car à 13ans, si on aime quelqu'un qui nous aime, on a tendance à croire que notre histoire durera toujours.
Que la vie est «comme dans les films», que les gens tombent amoureux pour toujours et à jamais, même si on est censé aimer notre amoureux et non pas son meilleur ami.
Après les vacances d'avril, c'est la fin de 5ème qui pointe sont nez.
Ce sont les derniers mois avant les grandes vacances, ces vacances qui achèveront un année d'expériences pour nos petites choses fragiles.
Ce moment de l'année est le plus chaotique. Des couples se forment, d'autres se cassent avec, à la clé, de l'hypocrisie et de la jalousie. Jaloux de tout le monde, de leur petit copain à leur meilleur ami.
Puis, la 4ème arrive.
Les filles ont de la poitrine et les garçons, des poils. Ceux qui n'en ont pas feront comme si.
Alors, bien sûr, ils ont tous grandit mais seulement physiquement, car dans la tête de ces
petits êtres innocents, le chaos est toujours le même. Et la jalousie est toujours présente, bien plus présente qu'auparavant. Ils iront jusqu'à jurer à leur Best Forever qu'elle a pris du poids et que ça se voit, pour que cette dernière ne mette plus son top moulant qui lui faisait une silhouette de rêve.
Les élèves draguent et flirtent par SMS, car, il est plus facile de mentir à quelqu'un qui ne nous regarde que par le biais de notre téléphone.
Ceux qui auront eu deux ou trois idylles téléphoniques iront jusqu'à dire qu'ils ne «se tapent que des troisièmes cette année», alors qu'ils n'ont embrassé la femme ou l'homme de leur vie que dans leurs rêves les plus profonds. Celui ou celle qui arriveront à avoir le plus d'aventures pathétiques en une année, verra son ego grossir et se pensera supérieur. Il fera tout pour que personne ne le remarque et dira du mal dans le dos de son meilleur ami.
Les filles portent des mini-jupes et se peignent le visages,
les garçons s'arrosent de parfum bon marché et ouvrent leurs chemises au nombril. Beaucoup citent de pseudo-artistes tels que Booba ou Orelsan pour justifier leurs actes. La plupart fument, prétextant des problèmes familiaux, ou amoureux, se «shootent» au déodorant espérant ainsi attirer l'attention sur eux, ou bien, boivent, tout simplement, jusqu'à être ivre mort ou dans le coma. Les uns sont bourrés en cours, les autres se pelotent alors qu'ils sont en couple et la plupart pensent que broyer du noir tous les jours est un bon moyen pour être remarqué. Ils s'inventent des problèmes, des amitiés, une sexualité.
Car, bien sûr, à 13/14 ans, plus aucun élève n'est puceau mais personne ne connaît les gens qui les ont aidé à perdre prématurément leur virginité. Pour beaucoup, être expérimenté est un signe de supériorité. Ils s'en vantent, se moquent de ceux qui attendent et de ceux qui n'ont jamais embrassé quelqu'un.
Si, en 4ème, un garçon n'a jamais eu de copine, les gens penseront qu'il est coincé. Alors que si une fille n'en a jamais eu, ils diront que c'est tout à fait normal car une fille doit attendre le mariage ou bien que sont physique ne lui permet pas d'être aimée.
Quand au contraire, un garçons accumule les pseudo-conquêtes, on lui décernera le titre de «Bôgosse», alors qu'une fille se verra insultée de «pute», «salope» ou «péripatéticienne» pour les personnes ayant un vocabulaire plus élevé et sachant comprendre les mots non monosyllabiques.
Les marques, l'apparence, le physique, les amis, l'argent, la popularité, la clope, l'alcool, surnommée la «tease», la drogue pour les plus fortunés ou les plus idiots et, bien sûr, l'amour, la jalousie et l'hypocrisie prennent le dessus. Submergés par leurs émotions, ces adultes en devenir ne savent plus qui croire, à qui se confier, qui écouter, qui rejeter et ne se font plus confiance. Il perdent tous leurs repères, leurs envies, leurs vies s'effacent et retrouver le chemin s'avère plus difficile qu'ils ne l'avaient imaginé.
Pour beaucoup, la vie est comme un jeu, on possède plusieurs vies, et pour effacer ses erreurs , il suffit de faire «ctrl+z» comme sur les PC achetés par leurs parents et offerts à un anniversaire.
Les conversations se métamorphoses en échanges pleins de grossièretés, de sous-entendus sexuels. Les uns lancent des vannes homophobes, les autres des blagues sexistes.
Pour ne pas montrer leurs faiblesses, la plupart se servent de celles des autres. Une stratégie intelligente, utilisée par de nombreux apprentis manipulateurs. L'innocence s'est enfuie, emportant avec elle la gentillesse et la sympathie.
Certains rient pour un rien, d'autres pleurent, et noient leurs chagrins dans les injures et les sourires. Ils se disent martyres, ces petits mortels qui mangent à leur faim, vivent dans des maisons ou appartements avec eau courante et électricité, ces jeunes gens qui consomment, achètent, jettent, font des caprices pour un rien et qui ne sont même pas fichu de faire quelque chose qui leur permettrait d'être heureux, de ne plus avoir à se plaindre. Ces personnes qui portent des marques, qui sont sur leur téléphones portables neuf vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ces enfants qui se croient adultes et qui pensent connaître tout de la vie et qui donnent des leçons de morale.
Je ne suis pas mieux, pas pire qu'eux. Je fais partie de ces gens, de ces «presque adultes» complètement irresponsables, de ces personnes que la société de surconsommation dans laquelle nous vivons, nourrit de fantasmes, d'images, de cheveux blonds, de grosses poitrines, de corps de rêve et de tablettes de chocolat. Je fais partie de ceux qui sont persuadé d'écouter de la bonne musique lorsqu'ils écoutent du Britney Spears ou du Colonel Ryel. De tous ces inconsiants qui se jettent tête baissée dans une vie, un monde qu'on leur a laissé mais qu'ils n'ont jamais demandé. Je fais partie de ces gens que l'on imagine médecins ou architecte parce que ça paye bien mais qui se voient chanteur ou cameraman.
Je fais partie de ces enfants à qui on a promis un monde meilleur, à qui on a promis des tas de choses irréalisables. Je fais partie de cette jeunesse que beaucoup croient perdue, se demandant quels adultes elle laissera. Je fais partie de ces gens qui ont la tête bourrée de trucs inutiles comme les paroles de chansons douteuses et le prix d'un paquet de clopes.
Je fais partie de cette génération qui arrête de fumer à 12ans et qui commence à boire à 14. De cette génération qui veut changer le monde et qui connaît mieux les slogans publicitaires que les dates des cours d'histoires.
De ceux qui affichent des pubs de magazines dans leurs chambre, qui passent des heures sur le net, qui savent effacer l'historique de leur ordinateur et qui carburent au sucreries pleines de E machinchose.
De tout ceux qui se demandent qui ils aiment et pourquoi ils sont là. Pourquoi ils doivent devenir adultes.
Je fais partie de ceux qui ont peur de ne pas être à la hauteur, qui aimerai ressembler aux acteurs même si ils savent que leurs photos sont trafiquées sur photoshop.
De ceux qui mangent au Macdo même s'ils savent que c'est dégueulasse.
Je fais partie de ceux qui écrivent des textes de trois pages, juste pour dire ce qu'ils ont sur le cœur.De tous ceux qui écoutent la musique à fond sur leurs iPod.
Oui, je fais partie de ceux que vous appelez les adolescents.

dimanche 10 février 2013

Apparence, apparence...

J'ai remarqué que la plupart de mes amis font plus attention à l'apparence des personnes qu'ils côtoient qu'à l'intelligence de ces dites personnes. Quel triste monde.
Sur ce, je m'en vais me morfondre sur la tristesse et la cruauté du monde dans lequel nous vivons,
Big Bisous,
Cléo

Avec ou sans

Il y a des jours avec et il y a des jours sans. J'aimerai bien que les jours avec montre le bout de leur nez plus souvent et que les jours sans disparaissent définitivement...
Je parle des jours avec chocolat et des jours sans chocolat bien sur. 

samedi 9 février 2013

Wallah!

Je sais qu'il ne faut pas se moquer des gens, mais il y a des moments...

Boeuf bourguignon ou pizza surgelée?

Aujourd'hui, je suis chargée de cuisine. J'essaye de préparer un bœuf bourguignon mais je crois qu'on va manger une pizza surgelée.
Sur ce,
Big Bisous,
Mon met délicat est en train de cramer,
Lélo.

vendredi 8 février 2013

Les gens changent.

Aujourd'hui, c'était l'anniversaire d'un de mes anciens amis. De mon ancien meilleur ami à vrai dire. Je lui ai dit bon anniversaire, dès que je l'ai vu. Il ne m'a même pas adressé un sourire, un regard. Pas même un merci. C'est dingue à quel point les gens changent. Écrire cette phrase m'a fait penser au single de la pub Orange:" La vie change avec Orange". Enfin bref,
Sur ce,
Big Bisous,
Lélo.

Ce que disent les gens

Faut pas croire ce que disent les gens,
Ils sont jaloux, aveuglés.
Faut pas se fier à ce qu'on entend,
à toute cette stupidité.
Des rumeurs, des remarques,
de la gentillesse de l'hypocrisie,
des coups de gueule, des paires de claques,
des personnes qu'on oublie.

Refrain:
Tout ce qu'ils disent, tout ce qu'ils pensent,
toutes ces saloperies on s'en balance,
tout ce qu'on veut c'est vivre notre vie
heureux et sans aucun soucis.
Nous on veut rire et s'amuser,
pouvoir dormir et s'amuser.

Faut pas se fier aux apparences,
toutes les rumeurs, les "on m'a dit".
Juste l'humour et l'intelligence,
et on se moque de leurs avis.
La beauté part et le cœur reste,
les souvenirs s'effacent,
la cruauté est comme la peste,
elle tue et elle terrasse.

Refrain.

jeudi 7 février 2013

Bullying

Hello, how r u?
I'm fine but sometimes, I think that we should all react when something wrong is happening.
I mean, in my school, bullying is a "game". Why? Cant' answer. But I think that, if we all do something against this fucking game, it can and it will probably stop. Those mother fuckers don't understand what they're doing. We have to make them understand. And now.
Good Bye,
Big Bisous,
Lélo.

Mais quel con!

Quel con. Quel imbécile. Même une personne sous-douée tiendrait des propos plus réfléchis, plus sensés. Il est bête, dépourvu d'esprit critique, complètement stupide. Qu'il ne dise rien s'il veut pouvoir rester un minimum crédible, qu'il se taise, qu'il arrête de parler pour ne rien dire. Il est vulgaire, vraiment, ne pense qu'au cul, aux seins, au sexe. Tout ce qu'il dit à un rapport avec ces conneries qui s'entassent dans la tête des ados qui regardent trop de films douteux. Il a un rire chevalin, un rire qui en dit long sur cet espèce de concentré de testostérone. Il te regarde, il à l'aire stupide, comme tous ces imbéciles qu'on voient, complètement hystérique, devant un pseudo-chanteur de rap. Il est laid, enfin pas laid, mais plutôt banal, avec son mono-sourcil, ses boutons et son appareil. Et puis cet air d’abruti qu'il a quand il sourit. Il te regarde, avec son air niais et puis quelque minutes après, il te prend dans ses bras. Mais quel con!

mercredi 6 février 2013

L'amour est aveugle, l'amitié ferme les yeux.

Pourquoi c'est lui, lui et pas un autre. Pourquoi il faut que ce soit lui. Lui. Mais merde, qu'est-ce que j'ai fait putain! Pourquoi lui, pourquoi, pourquoi? Pourquoi quand j'écoute une chanson triste, je pense à lui, pourquoi quand je pense à lui, je souris, pourquoi lui, putain pourquoi! Pourquoi c'est lui qui me fait sourire, comme s'il ne le savait pas, comme si je ne lui avait jamais dit. Pourquoi pas un autre, un que je ne connais pas, à qui je n'ai jamais parlé. Pourquoi celui-ci, celui-là, pourquoi, pourquoi?
Et pourquoi faut-il qu'il continue, comme s'il ne l'avait pas deviner, comme s'il ne s'en était pas aperçu. On dit que l'amour est aveugle et que l'amitié ferme les yeux. Je sais que je ferme les yeux. Mais parfois, ce n'est pas pareil, parfois, c'est comment dire, étrange. Non pas que je l'aime, mais je ne sais pas c'est... vraiment très bizarre. Comme si le monde s'arrêtait de tourner autours de nous, comme si plus rien ne comptait, comme si nous étions seuls, tous les deux. Comme si le monde n'existait plus. Et puis elle nous regarde et tout redevient normal.
Et puis il y a l'autre. Comme si ça allait recommencer. Juste des regards, des mots, des gestes. Des bonjours mais pas d'au revoir. Comme si ça lui faisait peur. Comme si ça me faisait peur. Mais je n'ai pas peur, pour une fois que je n'ai pas, plus peur, pour une fois que je suis là et que je sais comment gérer ce qui m'arrive. Ne pas tomber amoureuse, et si ça arrive, faire comme si rien ne s'était passé. Ne pas monter mes émotions. Me cacher. Comme n'importe qui le ferait. Comme n'importe qui comme moi ferait. Mais y a-t-il quelqu'un comme moi? La psy m'a dit de chercher, qu'il y avait, quelque part, quelqu'un comme moi. Non pas que je sois totalement différente. Mais un petit peu quand même. Un tout petit peu. Mais juste assez pour m'en rendre compte. Alors, avoir des amis, c'est ce qui me rend normale. Donc, comme d'habitude je ferme les yeux.

Groupe de rock

Aujourd'hui, je suis restée au collège un peu plus longtemps: le professeur de musique a un projet, créer un groupe de rock. C'était génial, on s'est vraiment éclaté. On a repris "Let it be" des Beatles et "Seven nation army" des White Stripes. La prochaine fois, on fera peut-être "Californication" des Red Hot ou bien "Little sister", la BO du film LOL. Enfin bref tout ça pour vous dire que j'ai passé une bonne journée et que j'espère que vous aussi.
Big Bisous,
Lélo.

mardi 5 février 2013

Aujourd'hui

Un petit coucou juste pour vous dire bonjour et vous demander comment vous allez.
Moi ça peut aller mais je me demande de plus en plus souvent comment fonctionne le cerveau humain. Et quelle quantité de conneries il peut accumuler avant d'exploser.
Big Bisous,
Lélo

Eux

Je ne sais pas si ça vous arrive à vous aussi. Cette envie d'hurler, de pleurer, de montrer que vous existez. Que vous n'êtes pas que "l'amie de machin" ou "la copine de bidule". Juste pour leur faire comprendre, à tous, que vous êtes quelqu'un vous aussi. Que vous existez avec ou sans eux, et que vous devez les supporter, eux, leurs blagues puériles, leurs discours futiles. Eux et leur quotient intellectuel aussi élevé que celui d'un raton laveur en fin de vie, eux et leurs vies si horribles, Papa ne voulant pas leur acheter d'Iphone et Maman refusant qu'ils dorment chez leurs petits copains. Vous avez envie de crier que vous vous en moquez, que vous voulez juste des amis, une vie, des personnes à qui parler, qui vous écoutent et que vous écoutez en retour. Mais ça, ils ne le comprennent pas.

lundi 4 février 2013

Et l'aimé, est absent.

Il y eut un regard,
un souffle, un sourire,
Il y eut un espoir, 
une lueur, un soupir.
Il y eut ton nom, puis le mien, enlacés,
il y eut ta vie plus la mienne, à jamais.
Il y eut toi et moi, 
Il y eut nous;
mais en un claquement de doigts, 
nous oubliions tout. 
Comme les plus beaux moments
deviennent des souvenirs,
on oublie un instant, 
on aime à en mourir.
Mais la vie est trop courte et le chemin trop long, 
on s'ennuie, se languis et de toute façon,
pourquoi vivre amoureux 
et mourir malheureux,
quand l'amour est payant,
et l'aimé, est absent.